- EAN13
- 9782226236128
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 02/01/2013
- Collection
- Romans Français
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Plus que tous les paquebots de toutes les mers, plus que les plus fastueuses
Rolls ou que les plus casse-gueule des avions du monde, plus encore que tous
les autres trains du monde, l’Orient-Express constitue un mythe. Un mythe avec
son cortège de déesses et de demi-dieux qui sont espionnes de haut vol,
princes russes et aventuriers de tout poil. Avec ses cohortes de conducteurs,
voituriers, sleepings, avec ou sans madone. Et c’est sur ce mythe-là que
Pierre-Jean Remy a voulu écrire. Mais comme l’amour, l’aventure et les belles
étrangères sont inséparables de l’histoire de l’Orient-Express telle que nous
nous plaisons à nous la raconter, ce sont six portraits de femme que Pierre-
Jean Remy a tracés. Six images qui sont devenues une seule histoire en même
temps qu’une somptueuse machine à faire rêver... L’Europe et ses trains de
luxe entre 1914 et 1939. D’une guerre à l’autre, l’amour, l’aventure et la
mort.
Pierre-Jean Remy a réinventé dans son roman ces six destins pour les confondre
dans les souvenirs d’un seul homme, à la fois acteur et témoin, narrateur et –
qui sait ? – créateur de ces destins. Maria, Jenny, Antonello et leurs
compagnes, telles que Paul de Morlay, vieux diplomate humaniste et souriant,
les évoque pour la jolie Lise Bergaud, en quête d’un livre à raconter,
deviennent ainsi les protagonistes de frémissantes histoires d’amour, en même
temps que les actrices de quelques-uns de ces menus drames qui, en marge de
l’histoire, ont fait l’Histoire.
De la guerre à éviter -1914 – au raz de marée qui va balayer toute cette
Europe-là -1939 –, les trains de Pierre-Jean Remy transportent de Vienne à
Bucarest, d’Ostende à Venise et à Sofia, des hommes et des femmes – mais des
femmes surtout, qui sont toutes les témoins de leur temps. Et qui toutes, une
fois dans leur vie, vivent au moins une grande aventure. Et c’est parce
qu’elles l’ont vécue, cette aventure, que Paul de Morlay, qui les croise, se
plaît à les suivre.
Vienne, donc, et Bucarest, et Lausanne, et Genève ; l’Arlberg et le Simplon,
le Direct-Orient... Et puis Antonella, Jane, Hélène : des visages à faire se
retourner le plus blasé des voyageurs. Une succession de voyages dans un monde
qui a basculé dans l’oubli lorsque le dernier wagon du dernier Simplon a été
vendu à un musée !
Rolls ou que les plus casse-gueule des avions du monde, plus encore que tous
les autres trains du monde, l’Orient-Express constitue un mythe. Un mythe avec
son cortège de déesses et de demi-dieux qui sont espionnes de haut vol,
princes russes et aventuriers de tout poil. Avec ses cohortes de conducteurs,
voituriers, sleepings, avec ou sans madone. Et c’est sur ce mythe-là que
Pierre-Jean Remy a voulu écrire. Mais comme l’amour, l’aventure et les belles
étrangères sont inséparables de l’histoire de l’Orient-Express telle que nous
nous plaisons à nous la raconter, ce sont six portraits de femme que Pierre-
Jean Remy a tracés. Six images qui sont devenues une seule histoire en même
temps qu’une somptueuse machine à faire rêver... L’Europe et ses trains de
luxe entre 1914 et 1939. D’une guerre à l’autre, l’amour, l’aventure et la
mort.
Pierre-Jean Remy a réinventé dans son roman ces six destins pour les confondre
dans les souvenirs d’un seul homme, à la fois acteur et témoin, narrateur et –
qui sait ? – créateur de ces destins. Maria, Jenny, Antonello et leurs
compagnes, telles que Paul de Morlay, vieux diplomate humaniste et souriant,
les évoque pour la jolie Lise Bergaud, en quête d’un livre à raconter,
deviennent ainsi les protagonistes de frémissantes histoires d’amour, en même
temps que les actrices de quelques-uns de ces menus drames qui, en marge de
l’histoire, ont fait l’Histoire.
De la guerre à éviter -1914 – au raz de marée qui va balayer toute cette
Europe-là -1939 –, les trains de Pierre-Jean Remy transportent de Vienne à
Bucarest, d’Ostende à Venise et à Sofia, des hommes et des femmes – mais des
femmes surtout, qui sont toutes les témoins de leur temps. Et qui toutes, une
fois dans leur vie, vivent au moins une grande aventure. Et c’est parce
qu’elles l’ont vécue, cette aventure, que Paul de Morlay, qui les croise, se
plaît à les suivre.
Vienne, donc, et Bucarest, et Lausanne, et Genève ; l’Arlberg et le Simplon,
le Direct-Orient... Et puis Antonella, Jane, Hélène : des visages à faire se
retourner le plus blasé des voyageurs. Une succession de voyages dans un monde
qui a basculé dans l’oubli lorsque le dernier wagon du dernier Simplon a été
vendu à un musée !
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