Mein Kampf, Tome I
EAN13
9782369551201
Éditeur
A verba futuroruM
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Mein Kampf

Tome I

A verba futuroruM

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782369551201
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    2.99
Le manifeste politique d'Hitler, véritable programme de la fureur nazie.

L'auteur que nous ne prendrons pas la peine de présenter, est ouvertement
antisémite, antifrançais, antislavetzyganehomosexuel,
antidémocraterépublicaincommuniste, il est anti tout ce qui peut donner une
richesse à une société moderne, antidiversité, antihumanisme. Et pourtant,
nous publions son livre. Pourquoi ?
Car rarement dans l'histoire, un homme politique a poussé son programme
jusqu'à la réalité à ce point.
L'horreur était marquée dans l'encre avant de l'être dans la chair, et
personne ne l'a vue ou personne n'a voulu la voir, préférant tourner la tête
ou se boucher le nez, laissant aux hommes de mains le pouvoir d'exprimer cette
possible haine infuse dans chacun de nos cervaux reptiliens, ce règne animal
caché de la loi du plus fort, se camouflant derrière des doctrines économiques
ou pire derrière des non-dits religieux.
Nous connaissons en millions de victimes le résultat de cet aveuglement.
Aujourd'hui, en cette année d'élections françaises, après quelques exemples
au-delà de nos rives atlantiques, il nous est apparu essentiel de rappeler une
vérité : l'Histoire est cyclique et il est toujours plus facile de détruire
que de construire.

En cette période marquée par le scepticisme et le repli nationaliste, voici un
document historique à lire et à analyser, afin d'éviter de répéter
l'Histoire...

EXTRAIT

Si l’on avait, au début et au cours de la guerre, tenu une seule fois douze ou
quinze mille de ces Hébreux corrupteurs du peuple sous les gaz empoisonnés que
des centaines de milliers de nos meilleurs travailleurs allemands de toute
origine et de toutes professions ont dû endurer sur le front, le sacrifice de
millions d’hommes n’eût pas été vain. Au contraire, si l’on s’était débarrassé
à temps de ces quelques douze mille coquins, on aurait peut-être sauvé
l’existence d’un million de bons et braves Allemands pleins d’avenir.
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