- EAN13
- 9782373610345
- Éditeur
- Editions Matériologiques
- Date de publication
- 2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782373610345
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« Etsuko, grâce à toi, ma mort sera resplendissante. Merci, et au revoir. »
Tels furent les derniers mots que Takeo, condamné à mort depuis seize ans dans
la maison de détention de Tôkyô, adressa à sa jeune correspondante. Comment
était-il parvenu à un état d’esprit aussi serein alors qu’il allait être pendu
quelques heures plus tard ? Entre les murs des gémissements et des remords, ce
meurtrier avait appris peu à peu, pour la première fois de sa vie, à « aimer »
quelqu’un, puis à « aimer » la vie, tout simplement.
Sachant que la peine capitale est encore pratiquée à ce jour au Japon, ce
roman a suscité une polémique littéraire et sociale importante lors de sa
publication en 1979. À ce jour encore, il s’agit de la première et dernière
œuvre littéraire traitant du sujet, considéré comme « tabou » au sein de la
société japonaise.
En faisant revivre de façon très dense, à partir de plusieurs perspectives,
les quatre derniers jours de Takeo, La condamnation – dont c’est la première
traduction en français – pose cette question vitale et universelle : « Qu’est-
ce, pour l’homme, que le salut ? »
Tels furent les derniers mots que Takeo, condamné à mort depuis seize ans dans
la maison de détention de Tôkyô, adressa à sa jeune correspondante. Comment
était-il parvenu à un état d’esprit aussi serein alors qu’il allait être pendu
quelques heures plus tard ? Entre les murs des gémissements et des remords, ce
meurtrier avait appris peu à peu, pour la première fois de sa vie, à « aimer »
quelqu’un, puis à « aimer » la vie, tout simplement.
Sachant que la peine capitale est encore pratiquée à ce jour au Japon, ce
roman a suscité une polémique littéraire et sociale importante lors de sa
publication en 1979. À ce jour encore, il s’agit de la première et dernière
œuvre littéraire traitant du sujet, considéré comme « tabou » au sein de la
société japonaise.
En faisant revivre de façon très dense, à partir de plusieurs perspectives,
les quatre derniers jours de Takeo, La condamnation – dont c’est la première
traduction en français – pose cette question vitale et universelle : « Qu’est-
ce, pour l’homme, que le salut ? »
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