Les idées sociales de Nietzsche et la morale aristocratique du Surhomme
EAN13
9782381119847
Éditeur
Editions Homme et Litterature
Date de publication
Langue
français
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Les idées sociales de Nietzsche et la morale aristocratique du Surhomme

Editions Homme et Litterature

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Nietzsche accuse de nihilisme la société européenne et, par nihilisme, il
entend l’affaissement ou l’annulation de la volonté de puissance, fond de la
vie individuelle et sociale. Toute la société « moderne », selon lui, est
victime d’une immense erreur, qui est la cause de l’universelle décadence. Une
société déchoit quand elle prend pour principes d’action des valeurs
antivitales, c’est-à-dire contraires au sens même de la vie, qui est la
recherche insatiable du pouvoir et de la domination. La maladie moderne, le
mal des civilisés, selon Nietzsche, c’est l’atonie et l’impuissance de la
volonté...

La grande faute de la société moderne, qui a fait de la religion « une
décadence », de la morale une « décadence », de la philosophie une « décadence
», c’est d’avoir substitué au naturel déploiement de la force la recherche
artificielle et vaine de la justice pour tous, du bonheur pour tous. Voyons ce
que dit Nietzsche dans sa critique de l’idée de justice sous les formes
diverses et, selon lui, également décadentes de la démocratie, du socialisme,
de l’anarchisme et du christianisme.
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