- EAN13
- 9782748390414
- Éditeur
- Mon Petit Éditeur
- Date de publication
- 09/2012
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782748390414
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Du dernier crime perpétré par les aubergistes à leur exécution sur les lieux
même de leurs forfaits devant près de trente mille personnes, « Peyrebeille »
dénoue les fils de ce qui fut sans aucun doute l’une des plus effroyables
affaires criminelles du XIXe siècle. Après deux ans d’instruction, plus d’une
centaine de témoignages, les Martin, leur neveu André Martin et leur
domestique Rochette, sont traduits devant les assises de l’Ardèche pour six
chefs d’accusation seulement... serait-on tenté de dire, puisqu'une grande
partie des crimes est couverte par la prescription. André Martin est acquitté
grâce à un certificat de bons mœurs présenté par son avocat, ses comparses
condamnés à mort. Voilà pour la réalité historique. Et puis comme un canevas
tissé entre réalité et fiction, « Peyrebeille » c’est aussi une histoire
d’amour entre Jean Audigier, l’avocat du neveu Martin et Adelise Cellier,
imaginée sous les traits de la belle brodeuse. La peinture, enfin, d’une
société et d’une région où survivent encore des mœurs et traditions d’un autre
âge. La légende elle, on le sait, n’a pas attendu le terrible dénouement de
l’échafaud pour faire de l’auberge et de ses propriétaires le coupe-gorge et
les monstres décrits par les romans.
même de leurs forfaits devant près de trente mille personnes, « Peyrebeille »
dénoue les fils de ce qui fut sans aucun doute l’une des plus effroyables
affaires criminelles du XIXe siècle. Après deux ans d’instruction, plus d’une
centaine de témoignages, les Martin, leur neveu André Martin et leur
domestique Rochette, sont traduits devant les assises de l’Ardèche pour six
chefs d’accusation seulement... serait-on tenté de dire, puisqu'une grande
partie des crimes est couverte par la prescription. André Martin est acquitté
grâce à un certificat de bons mœurs présenté par son avocat, ses comparses
condamnés à mort. Voilà pour la réalité historique. Et puis comme un canevas
tissé entre réalité et fiction, « Peyrebeille » c’est aussi une histoire
d’amour entre Jean Audigier, l’avocat du neveu Martin et Adelise Cellier,
imaginée sous les traits de la belle brodeuse. La peinture, enfin, d’une
société et d’une région où survivent encore des mœurs et traditions d’un autre
âge. La légende elle, on le sait, n’a pas attendu le terrible dénouement de
l’échafaud pour faire de l’auberge et de ses propriétaires le coupe-gorge et
les monstres décrits par les romans.
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