- EAN13
- 9782758702337
- Éditeur
- Bernard Giovanangeli
- Date de publication
- 18/07/2019
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Castelnau, le quatrième maréchal 1914-1918
Le quatrième maréchal 1914-1918
Benoît Chenu
Bernard Giovanangeli
Livre numérique
Le général de Castelnau incarna avec Joffre, Pétain et Foch le haut
commandement français pendant la Grande Guerre. Bien qu'ayant eu un rôle
prépondérant dans la victoire des armées françaises, notamment en 1914, il fut
le seul des quatre à ne pas avoir été élevé à la dignité de maréchal de
France. Et pourtant, sans la victoire décisive de Castelnau à la bataille de
la Trouée de Charmes, le miracle de la Marne n'aurait pas été possible. Verdun
n'aurait pas été davantage sauvé sans les décisions que Castelnau prit sur
place dès les premières heures de l'attaque allemande. L'armistice du 11
novembre contremanda en Lorraine la grande offensive qui aurait dû conduire le
groupe d'armées qu'il commandait en Allemagne. Tout au long du conflit, pour
des raisons politiciennes, le gouvernement l'écartera du commandement en chef
et le privera après l'Armistice du bâton de maréchal que l'opinion publique
réclamait pour lui.
A l'appui d'une impressionnante masse documentaire jusqu'ici peu exploitée,
Benoît Chenu éclaire l'action du général de Castelnau dans les grandes
opérations du front occidental, ainsi que celle des autres généraux ayant
exercé un grand commandement. Ces pages d'histoire militaire contribuent
grandement à la connaissance de la guerre de 14-18 et à celle d'une
personnalité dont l'influence s'imposa au-delà du monde militaire dans l
'entre-deux-guerres.
commandement français pendant la Grande Guerre. Bien qu'ayant eu un rôle
prépondérant dans la victoire des armées françaises, notamment en 1914, il fut
le seul des quatre à ne pas avoir été élevé à la dignité de maréchal de
France. Et pourtant, sans la victoire décisive de Castelnau à la bataille de
la Trouée de Charmes, le miracle de la Marne n'aurait pas été possible. Verdun
n'aurait pas été davantage sauvé sans les décisions que Castelnau prit sur
place dès les premières heures de l'attaque allemande. L'armistice du 11
novembre contremanda en Lorraine la grande offensive qui aurait dû conduire le
groupe d'armées qu'il commandait en Allemagne. Tout au long du conflit, pour
des raisons politiciennes, le gouvernement l'écartera du commandement en chef
et le privera après l'Armistice du bâton de maréchal que l'opinion publique
réclamait pour lui.
A l'appui d'une impressionnante masse documentaire jusqu'ici peu exploitée,
Benoît Chenu éclaire l'action du général de Castelnau dans les grandes
opérations du front occidental, ainsi que celle des autres généraux ayant
exercé un grand commandement. Ces pages d'histoire militaire contribuent
grandement à la connaissance de la guerre de 14-18 et à celle d'une
personnalité dont l'influence s'imposa au-delà du monde militaire dans l
'entre-deux-guerres.
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