- EAN13
- 9782760648692
- Éditeur
- Presses de l'Université de Montréal
- Date de publication
- 19/09/2023
- Collection
- La petite culture
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La mode sauvera-t-elle Cendrillon ?
Autour de trois romans et de quelques tableaux
Esther Trépanier
Presses de l'Université de Montréal
La petite culture
Livre numérique
Trois romans québécois dont l’intrigue se déroule essentiellement dans le
Montréal des années 1930 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy, Au milieu, la
montagne de Roger Viau et Élise Velder de Robert Choquette. Trois héroïnes en
quête d’ascension sociale : Florentine, Jacqueline et Élise. Leur point commun
? Elles sont à la recherche d’un prince aussi riche que charmant pour échapper
à la misère. Chose assez rare dans l’écriture romanesque de l’époque, les
auteurs insistent sur le recours aux artifices de la beauté – vêtements,
maquillage, bijoux – utilisés par ces jeunes femmes modernes dans leur
entreprise de séduction. Mais la mode peut-elle sauver Cendrillon ? Suivant
finement la trace de ces accessoires de mode dans les trois romans, Esther
Trépanier propose une nouvelle lecture de ceux-ci. Une lecture d’autant plus
intéressante qu’on y présente, en contrepoint, des oeuvres d’artistes tels
Adrien Hébert, Ghitta Caiserman et Jack Beder, qui illustrent le Montréal des
quartiers ouvriers, du port, de la Main, de la montagne et de l’emblématique
rue Sainte-Catherine, omniprésent dans l’écriture romanesque.
Montréal des années 1930 : Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy, Au milieu, la
montagne de Roger Viau et Élise Velder de Robert Choquette. Trois héroïnes en
quête d’ascension sociale : Florentine, Jacqueline et Élise. Leur point commun
? Elles sont à la recherche d’un prince aussi riche que charmant pour échapper
à la misère. Chose assez rare dans l’écriture romanesque de l’époque, les
auteurs insistent sur le recours aux artifices de la beauté – vêtements,
maquillage, bijoux – utilisés par ces jeunes femmes modernes dans leur
entreprise de séduction. Mais la mode peut-elle sauver Cendrillon ? Suivant
finement la trace de ces accessoires de mode dans les trois romans, Esther
Trépanier propose une nouvelle lecture de ceux-ci. Une lecture d’autant plus
intéressante qu’on y présente, en contrepoint, des oeuvres d’artistes tels
Adrien Hébert, Ghitta Caiserman et Jack Beder, qui illustrent le Montréal des
quartiers ouvriers, du port, de la Main, de la montagne et de l’emblématique
rue Sainte-Catherine, omniprésent dans l’écriture romanesque.
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