- EAN13
- 9791070039427
- Éditeur
- OXYMORON Éditions
- Date de publication
- 09/05/2022
- Collection
- BREIZH KOZH
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791070039427
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
Mise en Forme
- Aucune information
Fonctionnalités
- Balisage de la langue fourni
Normes et Réglementations
- Aucune information
2.99
Martial LE VENN, artiste peintre, est en villégiature sur le littoral breton
où il fait la connaissance de la belle Arianne de Charmaz avec qui il
sympathise...
Il apprend par elle que, sur l’île Ar Maro, visible depuis leur hôtel, réside
Élisabeth de Charmaz, sa cousine, et le mari de celle-ci, Jacques Morlaut, un
écrivain qu’il fréquentait jadis à Paris.
Heureux de revoir son ami, Martial demande à Arianne de l’accompagner sur
l’île.
Les retrouvailles sont à ce point joyeuses pour les deux hommes que Jacques
Morlaut les retient pour la soirée. Il a organisé une réception durant
laquelle doit les rejoindre une dizaine d’invités dont ses enfants avec qui il
est en froid et des relations de sa femme.
Avant de passer à table, Jacques Morlaut apostrophe ses convives. Il leur
annonce que le décès de l’ancien propriétaire d’Ar Maro n’était pas un
accident. Il ajoute que lui-même a échappé à une tentative d’assassinat. Il
conclut qu’il connaît l’identité du meurtrier et que celui-ci est l’un d’entre
eux...
Jean-Marie LE LEC (1902-1951). Né le 11 octobre à Treffiagat dans le
Finistère, Jean-Marie LE LEC a commencé très tôt à prendre la plume pour
conter des histoires s’ancrant dans les villages qu’il connaissait et
chérissait.
C’est au début des années 1940, sous l’influence de Edgar Allan Poe,
Stanislas-André Steeman, Pierre Véry, Agatha Christie... qu’il décide de se
lancer dans le roman policier sous le pseudonyme de Yann LE CŒUR.
En moins de trente mois, il en écrira une demi-douzaine, tous se déroulant
dans les Cornouailles et tous mettant en scène Martial Le Venn alias Mars,
inspecteur qui deviendra, par la suite, commissaire.
Yann LE CŒUR ne se contentera pas, dans ses histoires, de dépeindre les
paysages l’entourant, il s’évertuera, également, au sein de ses intrigues, de
faire des études de mœurs en proposant, à chaque fois, des portraits fouillés
de Bretons et de Bretonnes. Il n’oubliera pas d’évoquer les coutumes et les
folklores locaux et de parsemer ses textes d’expressions du cru...
où il fait la connaissance de la belle Arianne de Charmaz avec qui il
sympathise...
Il apprend par elle que, sur l’île Ar Maro, visible depuis leur hôtel, réside
Élisabeth de Charmaz, sa cousine, et le mari de celle-ci, Jacques Morlaut, un
écrivain qu’il fréquentait jadis à Paris.
Heureux de revoir son ami, Martial demande à Arianne de l’accompagner sur
l’île.
Les retrouvailles sont à ce point joyeuses pour les deux hommes que Jacques
Morlaut les retient pour la soirée. Il a organisé une réception durant
laquelle doit les rejoindre une dizaine d’invités dont ses enfants avec qui il
est en froid et des relations de sa femme.
Avant de passer à table, Jacques Morlaut apostrophe ses convives. Il leur
annonce que le décès de l’ancien propriétaire d’Ar Maro n’était pas un
accident. Il ajoute que lui-même a échappé à une tentative d’assassinat. Il
conclut qu’il connaît l’identité du meurtrier et que celui-ci est l’un d’entre
eux...
Jean-Marie LE LEC (1902-1951). Né le 11 octobre à Treffiagat dans le
Finistère, Jean-Marie LE LEC a commencé très tôt à prendre la plume pour
conter des histoires s’ancrant dans les villages qu’il connaissait et
chérissait.
C’est au début des années 1940, sous l’influence de Edgar Allan Poe,
Stanislas-André Steeman, Pierre Véry, Agatha Christie... qu’il décide de se
lancer dans le roman policier sous le pseudonyme de Yann LE CŒUR.
En moins de trente mois, il en écrira une demi-douzaine, tous se déroulant
dans les Cornouailles et tous mettant en scène Martial Le Venn alias Mars,
inspecteur qui deviendra, par la suite, commissaire.
Yann LE CŒUR ne se contentera pas, dans ses histoires, de dépeindre les
paysages l’entourant, il s’évertuera, également, au sein de ses intrigues, de
faire des études de mœurs en proposant, à chaque fois, des portraits fouillés
de Bretons et de Bretonnes. Il n’oubliera pas d’évoquer les coutumes et les
folklores locaux et de parsemer ses textes d’expressions du cru...
S'identifier pour envoyer des commentaires.