Etta et Otto (et Russell et James)
EAN13
9782365690829
ISBN
978-2-36569-082-9
Éditeur
Les Escales
Date de publication
Nombre de pages
432
Dimensions
22,6 x 14,3 x 3 cm
Poids
453 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
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Etta et Otto (et Russell et James)

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Les Escales

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Un premier roman événement traduit dans le monde entier. Un western poétique et émouvant servi par une écriture limpide.
Dans sa ferme du fin fond du Saskatchewan, Etta, quatre-vingt-trois ans, n'a jamais vu l'océan. Un matin, elle enfile ses bottes, emporte un fusil et du chocolat, et entame les trois mille deux cent trente-deux kilomètres qui la séparent de la mer. " J'essaierai de ne pas oublier de renter. " C'est le mot qu'elle laisse à Otto, son mari. Lui a déjà vu l'océan, il l'a même traversé des années plus tôt, pour prendre part à une guerre lointaine. Il comprend la décision de sa femme mais, maintenant qu'elle n'est plus là, il ne sait plus comment vivre. Russell, l'ami d'enfance d'Otto, a passé sa vie à aimer Etta de loin. Il ne peut se résoudre à la laisser seule et part à sa suite. Et qui sait, peut-être pourra-t-il chasser le caribou en chemin.
Bercé par le rythme des vagues, Etta et Otto (et Russell et James) vogue du souvenir à l'oubli. Un roman lumineux sur la mémoire, l'amour et la poésie des mots.
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Commentaires des lecteurs

Conseillé par
27 avril 2016

amour, Canada, marche

Après des avis dithyrambiques sur ce roman, je me jette à l’eau. Et je peux dire que je n’ai pas aimée autant que les autres lecteurs. D’abord j’ai trouvé la narration brouillonne : Russell part mais finalement atterrit ailleurs on ...

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Conseillé par
15 novembre 2015

À quatre-vingt-trois ans, Etta quitte sa ferme du Saskatchewan pour aller voir la mer. Elle part seule, pour un périple de trois mille deux cent trente-deux kilomètres à travers le Canada, avec en poche quelques babioles et une feuille où ...

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Conseillé par
26 octobre 2015

« Je devrais peut-être partir, répondit Etta. Dans un endroit pour les gens qui s’oublient eux-mêmes. Mais je me souviens, dit Otto. Si je me souviens et que tu oublies, on peut sûrement s’équilibrer. » Mais Etta quatre-vingt-trois ans a ...

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