Alex-Mot-à-Mots

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Alex L., lectrice compulsive, presque anonyme.
Ayant une préférence pour les bons polars, mais aimant aussi les autres genres (sauf la SF, pitié....)

Conseillé par
21 octobre 2014

humour

J'ai passé un agréable moment de lecture à suivre les aventures
amoureuses de la toute fofolle Julie et de sa bande copains-copines.

J'ai rit à certaines maximes de la grand-mère (notamment celle
dans laquelle il est question de manger du rat à un mariage).

Et puis le personnage de Ric reste énigmatique, ténébreux et attentif
jusqu'au bout : un homme comme on en rêve (même si j'en ai déjà
un exemplaire à la maison).

Une histoire qui fait chaud au cœur et qui remonte le moral. On
se doute que l'auteur a parfois rit en écrivant certaines scènes.

L'image que je retiendrai :

Celle de la voiture XAV-1 : prototype de la voiture du future qui ne
passe pas par le porche de l'immeuble.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/10/30357867.html

Conseillé par
21 octobre 2014

psychanalyse

Je ne suis pas une férue de textes psychanalitiques, ni de ses théoriciens. Alors je me suis parfois sentie un peu perdue au milieu de tous ces grands noms énumérés.
Et puis le récit peine à démarrer vraiment. La fameuse lettre ne fait son apparition que tardivement. Et, au final, ce qu'elle contient a peu d'importance (et ne me bouleversa pas, d'ailleurs).
Le retournement du méchant pour aider le bon docteur est trop rapide à mon goût (le temps psychologique n'est pas le temps humain).
Ce qui est intéressant dans ce roman, en revanche, ce sont les thèmes chers à l'auteure : la place de la femme dans la société et ses combats pour devenir à l'égal des hommes.
Une lecture courte qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. J'avais trouvé l'auteure plus percutante dans ses premiers romans.
L'image que je retiendrai :
Celle du cabinet de consultation reproduit à l'identique à Londres après l'exil du Docteur et de sa famille.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/06/30689842.html

9,00
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4 octobre 2014

Japon, policier

Sur les conseils d'ami(e)s blogueurs, je me lance dans la lecture de ce roman d'un auteur nippon que j'apprécie. Et je dois avouer que je ne fus pas déçue.

Tout y est : le suspens, l'amour et la logique.

Même si nous connaissons dès les premières pages le coupable, nous procédons comme Columbo pour découvrir de quelle façon (sans son chien et sa 403 - Merci Papou....).

J'ai aimé jusqu'au bout ce professeur de mathématiques un peu à part, et qui se dévoue jusqu'à la dernière page. Je l'ai trouvé touchant. Et son raisonnement diabolique.

L'image que je retiendrai :

Celle de la chaufferette de la table électrique. Il fait donc si froid dans les appartements japonais ?

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/10/03/30437493.html

Conseillé par
4 octobre 2014

policier

Voilà que, encore une fois, je lis les romans dans le désordre. Tant pis, je suis, pour la peine, obligée de rattacher les wagons.
Je retrouve donc avec plaisir le trop d'enquêteurs Servaz, Salima et Espérandieu, même si ces deux derniers sont moins présents dans ce second volet.
On en apprend en revanche un peu plus sur le passé de Servaz, son éducation classique ; sa fille.
Et la musique de Mahler, toujours. Mais cette fois-ci, entrecoupée de morceaux de Marilyn Manson. Ca change de registre, quoi.

Toutefois, j'ai trouvé ce second opus bien bavard par rapport à l'enquête elle-même, fort classique. La narration tire en longueur ; les descriptions sympathiques mais forts longues. Je confirme donc l'avis général de la blogo qui avait trouvé ce roman trop long.

Les descriptions, c'est bien, mais, dans un polar, la psychologie des personnages, c'est mieux. Et étant donné qu'il y en a beaucoup, de personnages, cela s'en ressent. Dommage.

Ceci dit, j'ai passé d'agréables moments dans cette région de Toulouse et des Pyrénées.

L'image que je retiendrai :

Celle des citations latines de Servaz qui ponctuent le texte.

Une citation :

"La phrase qu'ils avaient tous appris en cours de philo : On ne peut pas descendre deux fois dans la même eau." (p.416)

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/09/30/30415119.html

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4 octobre 2014

adolescence

J'ouvre enfin ce roman qui a su patienter quelques années dans ma PAL.
Un classique des années 60. Un premier roman, aussi.

Et je dois dire que j'ai été quelque peu déçue par le rythme du roman,
ainsi que par certaines tournures de phrases qui m'ont quelque peu
écorchées.

Je ne me suis pas sentie proche de Cécile ni d'Anne ni d'Elsa. La fin m'a
paru "too much".

Un univers trop loin du mien.

Et puis Bergson : référence à ma prof de philo de terminale qui, chaque
fois qu'elle abordait cet auteur, nous disait « Ah, Bergson ! ». Je
comprends maintenant pourquoi.

L'image que je retiendrai :

Celle du bateau de Cyril sur la Méditerranée bleue et chaude.

Il y a 10 ans nous quittait Françoise SAGAN, le 24 septembre 2004.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/09/24/30357923.html