- EAN13
- 9782246785170
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 09/03/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782246785170
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« Je n’ai que faire ici de l’entière vérité. Ce qui m’intéresse, ce sont les
lambeaux et bribes déposés en moi au fil du temps, que je manipule à tâtons,
que j’examine à l’aveuglette comme au fond d’une crypte ».
La rencontre des parents lors d'un bal de la Victoire, les premières
impressions fugitives sous le soleil d'Algérie et de Marseille, les
inconstances d'un père, son goût des femmes et des ailleurs, l'adoration d'une
mère, le divorce, la dépression...
Dans ce livre où pour la première fois il parle de lui, Georges-Olivier
Châteaureynaud exhume d'un passé brumeux des images, des légendes, et c'est
toute une mythologie familiale qui se constitue.
Il se souvient.
D'une chambre de bonne perchée au huitième étage. Du nomadisme. De la
pauvreté. De Grand-Père, de Tantine, ou du terrible Leturc, l'enfant qui lui
apprit à lire.
La vie nous regarde passer, ce sont les années de formation d'un écrivain,
c'est une adolescence dans les années 1960. Entre la "vie de café, mai 68, et
les ultimes "glorieuses", c'est aussi le discret parfum d'une certaine époque,
celle des aventures indochinoises et des années algériennes, celle de la
France d'après-guerre.
lambeaux et bribes déposés en moi au fil du temps, que je manipule à tâtons,
que j’examine à l’aveuglette comme au fond d’une crypte ».
La rencontre des parents lors d'un bal de la Victoire, les premières
impressions fugitives sous le soleil d'Algérie et de Marseille, les
inconstances d'un père, son goût des femmes et des ailleurs, l'adoration d'une
mère, le divorce, la dépression...
Dans ce livre où pour la première fois il parle de lui, Georges-Olivier
Châteaureynaud exhume d'un passé brumeux des images, des légendes, et c'est
toute une mythologie familiale qui se constitue.
Il se souvient.
D'une chambre de bonne perchée au huitième étage. Du nomadisme. De la
pauvreté. De Grand-Père, de Tantine, ou du terrible Leturc, l'enfant qui lui
apprit à lire.
La vie nous regarde passer, ce sont les années de formation d'un écrivain,
c'est une adolescence dans les années 1960. Entre la "vie de café, mai 68, et
les ultimes "glorieuses", c'est aussi le discret parfum d'une certaine époque,
celle des aventures indochinoises et des années algériennes, celle de la
France d'après-guerre.
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