Richesse, richesse virtuelle et dette La solution du paradoxe économique de Fredderick Soddy
EAN13
9782823110258
ISBN
978-2-8231-1025-8
Éditeur
Editions Persée
Date de publication
Collection
P.PERSEE LIVRES
Nombre de pages
334
Dimensions
23,4 x 15,6 x 1,8 cm
Poids
470 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Richesse, richesse virtuelle et dette La solution du paradoxe économique de Fredderick Soddy

De

Editions Persée

P.Persee Livres

Offres

Autre version disponible

Cet ouvrage d’économie a cela d’original qu’il a été rédigé par un scientifique (prix Nobel de chimie) et traduit par un physicien, près d’un siècle après sa parution en langue anglaise. Dans le texte publié en 1926, l’auteur, Frederick Soddy, met en lumière la nature exponentiellement divergente du système bancaire et pressent ses effets lors du siècle suivant. Il s’appuie sur les lois de la physique pour établir une théorie scientifique de l’économie où, notamment, les dettes ne peuvent pas enfl er sans limites. Les règles de l’économie mondiale et les analyses qui en découlent ont été échafaudées par la haute finance au service d’elle seule, sans aucune considération des principes physiques précédemment mentionnés. Selon Soddy pourtant, la gouvernance économique aurait beaucoup à gagner à être traitée « avant tout comme une affaire d’ingénierie scientifique, et non une affaire de comment tirer des intérêts de morceaux de papier ». Jean-Paul Devos naît à Toulon en 1949. À 28 ans, il s’installe en région parisienne. Spécialiste en aéro et hydroacoustique, ainsi qu’en thermodynamique, il passe les 20 dernières années de sa carrière au sein de la division R&D d’EDF, sur des problématiques liées à la sûreté des centrales nucléaires. Lors de son départ à la retraite, il s’est interrogé sur le fonctionnement du système économique actuel et sur le lien entre thermodynamique et économie. C’est là qu’il a découvert l’ouvrage méconnu de Frederick Soddy qui n’est plus imprimé et qui n’avait jamais été traduit. Pour le faire découvrir aux francophones, Jean-Paul Devos s’est lancé dans sa traduction.
S'identifier pour envoyer des commentaires.